Comment les marques underground ont pris le dessus ?
Paris, le 30 octobre 2016
Sweat à gogo, sneackers addicts et banane en peau de croco : le vestiaire underground ne cesse de passer de la rue aux podiums sans jamais véritablement s’essouffler. Sorte de boomerang qui part et revient par cycle, les grandes maisons ne cessent pourtant de s’en inspirer mais face à l’engouement, il faut rendre à César ce qui appartient à César ; les marques street sont des incontournables plus forts que Dior ou Chanel.